Bonjour, moi c’est Miya. Je suis une grande dame de 8 ans, croisée berger, avec le calme et la sagesse de mon âge… mais aussi mes petites habitudes bien à moi.
J’ai été abandonnée suite à une séparation. Ma vie aujourd’hui ? C’est un mélange de siestes prolongées au soleil, de balades tranquilles, et de câlins à volonté. J’aime passer du temps dans le jardin, m’y reposer ou observer ce qui s’y passe, et parfois… aboyer pour dire que je suis là, surtout la nuit si quelque chose me semble suspect.
Je suis très douce avec les humains. J’ai rencontré plein de monde depuis mon arrivée en famille d’accueil, y compris des bébés, et je me suis toujours montrée calme et délicate. J’apprécie les caresses, mais sans jamais être envahissante : je me rapproche, je m’allonge pas loin… et j’attends qu’on vienne à moi. Je ne cherche jamais à entrer dans les chambres, je respecte les espaces de chacun, et je sais rester seule sans faire de dégâts.
Avec mes congénères, je suis plutôt facile à vivre, même si j’ai mes limites. J’ai tendance à protéger ma gamelle ou mes jouets si un autre chien s’approche, mais il suffit de m’observer et de comprendre mes signaux pour que tout se passe bien. En balade ou en groupe, je suis parfaitement à l’aise, même au milieu de plusieurs chiens et chats – j’ai d’ailleurs cohabité sans souci avec 6 chiens et 15 chats lors d’un séjour.
Je suis propre, je me laisse manipuler sans problème, et je m’adapte facilement à la routine du foyer. Parfois, je bloque un peu en balade si je suis fatiguée ou si on change de chemin sans prévenir. Je suis très attirée par l’eau : ruisseaux, lacs, flaques… tout me donne envie d’y plonger. Et je dois avouer que quand j’ai faim, je deviens bavarde, et je sais très bien me faire comprendre pour obtenir ce que je veux !
Je ne suis pas une grande sportive, mais j’aime les balades à mon rythme. Je monte facilement en voiture et je me fais discrète une fois installée. En revanche, je suis une vraie adepte du confort : un bon coussin, une caresse, et je suis comblée.
Ah, et un petit détail important : je ronfle, paraît-il. Mais c’est le prix du bonheur, non ?